Surf Mediums

Les Surfs Mediums, mid length, sont des planches hybrides entre les shortboards et les longboards.

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Généralités 

Elles sont appelées mid length, du fait de leur position entre les planches courtes dites shortboards, et les planches longues dites longboards. Ce sont des planches relativement longues, généralement entre 7’ et 8’ (de 6’6 à 8’11 globalement) pour faciliter la rame, le take-off et l’évolution dans des vagues ou des sections pas très creuses.

Mais avec elles rien n’est définitivement dans une case car il existe des possibilités infinies entre les shortboards et les longboards.

On repère pourtant quelques catégories phares :

  • Les boards qui visent l’accélération : typiquement les fish, les gros swallow, et les Simmons en grandes tailles. Ce sont des planches qui vont faire le job de prise de vitesse à votre place. Vous n’aurez plus qu’à savourer les courbes et les manœuvres. On les retrouvera souvent montées en twin avec des belles keels, ou en quad pour les déclinaisons modernes. Ces dérives favorisent la prise de vitesse en axant fortement le rail sur sa trajectoire.
  • Les boards maniables qui vont s’inscrire naturellement dans les courbes sans trouver de blocage. Globalement toutes celles avec un tail rond et bien souvent en trifin, 2+1 (deux latérales et une centrale US réglable), ou en twin si la carène est affublée de channels pour guider les flux.
  • Les boards gunny dérivées des planches aux tails pincés qu’on va apprécier pour leur Vmax et leur capacité à tenir dans de la taille et le creux. Ce sont des boards géniales en trip car elles rament vite et elles glissent aussi dans du petit swell. Ce qui donne un registre de perfs vraiment sympa. On les aime en single pour la pureté des lignes, ou en trifin pour la maniabilité. Le 2+1 (deux latérales et une centrale US réglable) reste le montage royal car il permet tout à l’envie.
  • Les mini longboards qui vont permettre des noses, plutôt des hang five que des hang ten, bien aidées par leurs rockers plus bas que les mid length issues des shortboards comme précédemment. Ces rockers fusent dans les vagues molles et les noses généreux donnent un appui facilitant dans bien des situations. On va les trouver en single pour la pureté des lignes (mais avec des perfs bridées), ou en trifin pour la maniabilité (mais on sort un peu du programme). Le 2+1 (deux latérales et une centrale US réglable) reste le montage idéal car il donne le plus de rendement à ces petits longboards.

Entre toutes ces « catégories » il existe 20, 50, 100 styles de boards dont on dosera les typicités selon les goûts de chacun.

Les Mid Length sont par nature polyvalentes et simples. Certaines sont adaptées aux surfeurs débutants, avec un volume et une surface généreux. Alors que d’autres modèles sont capables de performances bluffantes pour des surfeurs de bon niveau en recherche de glisse et de confort.

Chez GONG nous faisons le choix de n’offrir que des planches à fort potentiel. Il n’y a donc pas de planches « école » dans cette catégorie chez nous. Nos boards sont destinées à votre progression ou au plaisir de surfer avec style et radicalité.

Pour qui ?

Un débutant sera tout de suite à l’aise, avec ces planches confortables et évolutives. Attention toutefois à ne pas vous orienter vers une board trop « typée » car elle se révèlerait surement trop technique. Trop fish, trop pintail, trop ci ou ça, c’est souvent cet excès qui va vous bloquer alors que votre niveau demande de la tolérance. Attention à l’achat « mode » qui vous éloignera de vos besoins à l’eau en privilégiant le plaisir des yeux. En planche unique c’est souvent une bêtise 😉

Un surfer confirmé appréciera le confort de rame et la facilité de prise de vagues, tout en conservant une planche beaucoup plus manœuvrante qu’un longboard. Le choix d’une glisse vraiment vaste qui va s’adapter aux vagues creuses et pourtant passer à merveille dans les sections plates.

Ces planches sont souvent une bouffée d’air frais dans une vie de surfeur déjà bien remplie.

Pour quoi ?

D’abord pour glisser. Les planches de taille médium sont juste assez longues pour avoir une glisse naturelle élevée et juste assez courtes pour ne pas nécessiter des déplacements sur la board pour la faire marcher, comme c’est le cas en longboard.

Ensuite pour savourer car dès lors que tout devient facile (la rame, la prise de vague, la vitesse, les courbes…) on s’aperçoit qu’une planche plus grande donne plus de temps. On voit la vague dérouler, les moves arriver, comme si on avait plus de temps qu’avec un shortboard, et moins cette sensation de rush.

Pour triper car ces boards sont le meilleur compagnon de voyage quand on part vers des vagues changeantes, comme c’est très souvent le cas. Revenir de trip avec des centaines de vagues au compteur, quel pied !

Enfin pour renouer, retrouver les racines, retisser le fil de la passion pour la glisse simple et magique.

Laquelle ?

Vous avez envie de shortboard ou de longboard ?

La Batmob a un ADN de shortboardeuse, alors que l’Acidolly est longboardeuse.

La Batmob est la planche moderne par excellence : un shape vif, de la largeur pour la mania, un maître bau médian pour encore plus de mania, et un volume généreux pour tout faciliter.

  • Deux points caractérisent la Batmob : son tail est un accélérateur de particules et son pont plat booste le contrôle. Cette combinaison donne une planche explosive.

Vous pouvez débuter avec une Batmob si vous avez déjà une ou plusieurs expériences dans les sports de glisse, ou parce que vous êtes sportif, ou tout simplement parce que vous êtes de nature à progresser rapidement. Sinon il faut la surdimensionner pour ne pas manquer de volume et vous assurer des débuts faciles. Une 7’2 ou une 7’6 sont vraiment des boards idéales pour progresser vite.

Elle est suffisamment compacte pour rester manoeuvrante, mais avec un volume généreux pour le confort global. Son tail est large pour faciliter les prises de vitesses et la relance. C’est une planche qui accélère vite, même dans les vagues les plus poussives, afin de travailler les manœuvres de bases telles que les rollers, cutback et floaters.

Un débutant s’orientera sur les tailles généreuses comme la 7’2. Un surfer expérimenté se fera plaisir avec les petites tailles en complément de son shortboard.

L’Acidolly est un mini malibu. Son outline est proche de celui d’un longboard pour se rapprocher de son comportement typique qui consiste à avancer pour accélérer et reculer pour tourner court.

On se déplace sur le pont pour se rapprocher du nose et profiter d’une glisse cool et fluide.

Le round tail quant à lui offrira un excellent contrôle, et une capacité à tourner court dans les vagues plus creuses.

Débuter avec un longboard peut être une bonne solution, mais la longueur de ces planches autour de 9’ est souvent trop encombrante pour un débutant qui va enfourner souvent. Les Acidolly reprennent tous les codes du shape d’un longboard mais en plus compact. Plus simple à transporter, à stocker, mais aussi à surfer. Une petite longueur qui permet de ramer facilement, de la largeur qui apporte de la stabilité. Des planches faciles à surfer qui permettent de progresser très loin. Même si vous la complétez avec une planche plus petite au cours de votre progression, il y a de grandes chances que l’Acidolly reste dans votre quiver.

Quelle techno ?

La technologie historique en surf est le PU. Mais sur ces tailles de planches, c’est couteux, pas très green, et un peu boring. Alors pour une planche très rétro c’est génial. On va l’alourdir volontairement avec cette techno pour donner de la constance dans sa glisse. Mais pour le reste, c’est moyen car on ne veut pas sacrifier la réactivité de ces planches à fort volume.

En résumé le PU est superbe, se répare en 10 minutes, ne craint pas l’eau, mais il est très fragile et souvent très cher pour la durabilité limité qu’il offre.

La nouvelle techno en vogue est l’EPS. Connue et exploitée depuis des décennies dans d’autres sports, elle fait enfin sa place dans le monde du surf. Globalement c’est comme le PU en plus léger et plus vivant. On peut donc la renforcer plus qu’une PU à poids égal. Et c’est un vrai plus. La board est dynamique car la résine époxy est plus vive que la polyester. Plus light et plus solide, donc une super techno qui reste jolie avec ses effets de matière et le pain en transparence sous la fibre.

L’EPS monolithique est léger, dynamique avec beaucoup de réponse, et solide. En revanche, les réparations sont plus longues (24/48h) et le pain boit l’eau si la strate a pris un choc. Son prix est accessible.

La techno du futur dans le surf est évidemment le sandwich. En clair, c’est comme la techno EPS mais on ajoute une coque d’un matériau hyper solide tout autour du pain de mousse. La planche est nerveuse, très solide, étanche à tous les chocs courants, mais aussi très couteuse et compliquée à fabriquer.

Nous avons développé une technologie de transition entre l’EPS et le sandwich Airex nommée WCKF. Ce sandwich bois est plus simple à construire, et donc moins couteux que les sandwich en mousse de PVC. Il est aussi un peu moins light et un peu moins nerveux qu’un sandwich Airex. Mais pour ce programme de boards médium, notre techno WCKF est géniale car elle est hyper solide, relativement light, et à un prix très raisonnable.

En clair : L’EPS pour une board perf, et le WCKF pour les moins méticuleux.

La techno Origin 2.0 associe solidité, performances et finition glossy léchée qui fera de votre planche un objet de convoitise absolue ! Ce sandwich composite moderne qui allie le bois et le carbone sur un pain EPS est juste sublime. Le bois collé sous vide renforce la planche contre les chocs, les enfoncements et la cassure. La ceinture en carbone crée une double latte extérieure qui offre une réactivité incroyable. Cette technologie très haut de gamme est la combinaison parfaite entre durabilité, dynamisme et performance. Seul notre modèle de vente directe permet de vous la proposer à un prix serré.

Quel leash ?

On utilise généralement un leash à la taille de la planche ou juste en dessous. Par exemple un leash de 7’ sur une 7’2.

En effet, les longueurs annoncées sont celles de la corde, à laquelle il faut ajouter les attaches. Et le leash s’étire sous tension, donc on a de la marge avant de prendre la board dans le nez.

Un leash à la bonne taille, donc assez court, vous protège moins des retours de board, mais il vous permet :

  • de ramer et surfer plus vite. La différence est dingue.
  • de récupérer votre planche plus rapidement. Donc de passer la barre plus vite.
  • de gêner moins de monde car votre rayon de « nuisance » est réduit.

Il n’y a qu’à mettre un leash de 10’ sur une 5’6 pour comprendre ;-))))

Ce n’est que dans les très grosses vagues qu’on monte en taille de leash. Hors sujet ici…

Le diamètre est aussi un point important : fin on va plus vite mais on risque de casser au-dessus d’une taille d’homme.

Enfin, on le change tous les ans. C’est agaçant mais c’est votre gilet de sauvetage. Sinon vous êtes obligé de surfer avec un gilet de plaisancier homologué NF (mais naaan 😉

Pad or no pad ?

La question du pad se résume souvent à un choix esthétique pour looker sa board. Mais ce qui semble être un artifice pour les non pros est en réalité une aide précieuse.

Si le surf est « l’art du placement », il faut alors bien placer ses pieds sur la planche. Et quoi de mieux qu’un repère sensitif pour dire : « ok, je suis au sweet spot pour ce turn. »

Il y a 40 ans, on avait ce repère avec l’enfoncement qui se creuse sous le pied sur les planches en PU. Mais c’est un peu daté comme délire non ? On aime ou pas, chacun son choix.

Si les enfoncements vous semblent être une solution un brin moyenâgeuse, vous pouvez aussi ne waxer que les sweet spots : hummm… grand écart garanti… C’est looké, ça fait pro, mais c’est vraiment jouer avec sa descendance… 😉

Coller des bons pads est donc indispensable. Ils diront à vos pieds s’ils sont bien placés ou non.

Encore faut-il bien les coller, et là on voit de tout.

Alors la règle est simple pour le tail pad : collé juste devant le plug de leash ! En clair, il doit être reculé à fond. C’est à cet endroit que vous aurez le feeling magique :

  • pied sur le plat du pad pour les turns tranquilles.
  • pied sur le kicker pour tout déchirer ou poper pour les reverses.
  • pied devant le pad pour tuber.

C’est supra simple.

Et pour le front pad ?

Encore marginal il y a 5 ans, il est en passe de devenir incontournable avec la mode des airs à gogo.

Où le placer ? C’est assez simple parce qu’il est long, donc on a de la marge.

En général on considère que le sweet spot du pied avant pour les turns est entre le tiers arrière et le centre du front pad. Car dans les moves vous aurez tendance à avancer, soit en réception, soit pour tuber. En revanche votre pied ne reculera jamais derrière ce sweet spot. C’est insurfable.

Vous avez collé le tail pad, alors mettez votre pied au centre de celui-ci et avancez le pied avant jusqu’à votre stance naturel. En général ce point est le tiers arrière du front pad.

En réalité, sur un shortboard c’est facile de le placer, donc sur un mid length c’est au même endroit. Ça paraitra un peu reculé mais c’est normal. Et vous pouvez en coller un deuxième devant si besoin.

Notez que les pads ne vous dispensent pas de waxer. Devant, derrière, on waxe on waxe on waxe.

Alors quels pads choisir ?

1/ Celui qui matche avec le shape de votre board. On peut le recouper avec une lame de cutter neuve, mais mieux vaut éviter le carnage.

2/ Celui qui vous plait, car c’est important d’aimer sa board.

Comment le coller ?

  • On le colle sur une board neuve car sur une planche déjà waxée c’est l’enfer : elle restera toujours grasse. Dans ce cas dewaxez puis nettoyez à l’essence F pour retirer le gras, et attendez 24h pour frotter avec un micro fibre propre avant de coller le pad.
  • On colle un pad bien droit, c’est plus joli 😉 Et on colle le tail pad au plug de leash !!! A 2cm devant au maximum.
  • On le positionne sur la planche sans retirer les films de protection du double face. On ajuste tout nickel. Si vous êtes fébrile, dessinez quelques repères au crayon à papier sur la planche.
  • On commence toujours par la partie centrale du pad.
  • On décolle l’avant du film sur 5cm qu’on rabat vers l’arrière.
  • On le place à nouveau. Quand c’est top, on presse l’avant pour figer la position avec la colle sur la board.
  • On soulève l’arrière du pad pour retirer la suite du film de protection.
  • Et on colle le reste vers l’arrière sans trop l’étirer ni le tourner.
  • On presse dessus bien fort car les colles réagissent à la pression avant tout.
  • On saucissonne le kicker du tail pad avec du scotch papier bien en pression pendant 24h.
  • On déballe 24h après et go !!!

Et si jamais une pointe du pad se décolle, on recolle à la colle rapide en gel sous un pad parfaitement sec. On n’attend pas 15 jours pour le faire, sinon tout le pad va partir. C’est un petit entretien à faire parfois, quand on a la combi qui a accroché dans le pad un peu fort par exemple.

J’allais oublier :

  • un pad est aussi un super antidérapant qui reste doux pour la combi.
  • il protège la board des chocs.
  • il crame la peau.
  • il vous évite de waxer toutes les 20 minutes…
  • il ajoute de la valeur à votre planche pour la revente.
  • et il look grave votre board.

Quelles dérives ?

Les ailerons livrés avec nos planches sont suffisants pour les exploiter correctement.

Mais si on sait que 50% des performances d’une planche viennent des dérives, un pro voudra forcément ajuster le jeu de dérives à son gabarit, son style, ses goûts…

Certaines dérives favorisent la vitesse, d’autres les turns, d’autres l’accélération etc… Il y a des descriptions complètes sur leurs propres fiches produits. Une bonne lecture au coin du feu de camp 😉

Si on résume :

  • Les boards qui visent l’accélération : typiquement les fish, les gros swallow, et les Simmons en grandes tailles, sont souvent montées en twin avec des belles keels, ou en quad pour les déclinaisons modernes. Ces dérives favorisent la prise de vitesse en axant fortement le rail sur sa trajectoire.
  • Les boards maniables avec un tail rond sont bien souvent en trifin, 2+1 (deux latérales et une centrale US réglable), ou en twin si la carène est affublée de channels pour guider les flux.
  • Les boards gunny dérivées de planches aux tails pincés sont en single pour la pureté des lignes, ou en trifin pour la maniabilité. Le 2+1 (deux latérales et une centrale US réglable) reste le montage royal car il permet tout à l’envie.
  • Les mini longboards sont en single pour la pureté des lignes (mais avec des perfs bridées), ou en trifin pour la maniabilité (mais on sort un peu du programme). Le 2+1 (deux latérales et une centrale US réglable) reste le montage idéal car il donne le plus de rendement à ces petits longboards.

Un montage 2+1 est un set-up de dérives composé de deux petites dérives latérales et d’une grande dérive centrale. On le retrouve sur de nombreuses planches de surf mid-length ou sur des longboards car il offre un excellent compromis entre la maniabilité d’un thruster et la stabilité d’un single fin (pour faire simple 😉). Vous pouvez affiner cet équilibre en ajustant la position de la dérive centrale comme expliqué ci-dessous.

Régler votre set-up 2+1

Tandis que les petites dérives latérales sont fixes dans leurs boîtiers, la dérive centrale peut se régler le long de son boîtier US. Bien que le rail de ce boîtier standard offre une large course de réglages, tout se joue sur 2 cm quand il s’agit d’un montage 2+1.

En effet, la base du bord d’attaque d’une dérive centrale sur un montage 2+1 doit se situer entre 0 et 2 cm de distance des tips des dérives latérales. Il suffit donc à l’aide d’une latte ou d’une ficelle tendue de vérifier la position de la dérive centrale par rapport à ces tips.

En choisissant 0 cm d’écartement, on favorise la mania.Réglée avec 2 cm d’écartement, comme dans l’illustration ci-dessus, À 2 cm on mise sur plus de stabilité pour une conduite plus coulée. Pour bien comprendre ce réglage, imaginez qu’il s’agit de l’empattement des roues d’une planche de skate. En réduisant l’écart entre l’axe avant et arrière des roues on obtient un skate très vif qui tourne sur place. Pour cruiser à la cool sur un skate de downhill, on utilise un empattement nettement plus important pour gagner en stabilité.

Si vous montez de plus grandes dérives latérales avec un tips plus reculé, il faudra également reculer votre dérive centrale. La règle est universelle.

Pour les montages 2+1, une plus grande centrale stabilise la planche et allonge les courbes. Des plus grandes latérales boostent la vitesse en courbe. On allonge les unes et pas les autres, ce sont des vases communicants : une grande centrale avec des grandes latérales c’est trop, votre planche sera ingérable.

La taille des centrales US : 6’’ à 9 en 2+1 et 8’’ à 11’’ en single (7’’ et 10’’ étant les références de chaque montage).

La matière des dérives est après le shape le point le plus important : il faut des fibres. La rigidité est la clef des bonnes dérives. Si vous montez en gamme, montez en rigidité. Et notez que des dérives en fibres sont réparables facilement en cas de choc avec un caillou par exemple.

Quelle housse ?

Pour la housse, on prend un poil plus grand que la board. D’abord pour y mettre la board, puis pour se laisser la place d’y ajouter les dérives, des protections, etc… Attention, trop grand ça claque sur les barres de toit et c’est à se pendre au bout de 100km 😉

Day bag ou luxe bag ? Le nom est une réponse. La luxe est idéale en voyage mais prend pas mal de place au quotidien. La Day bag est géniale pour les sess de tous les jours.

Chez GONG les deux types sont très renforcés. A vous de trancher.

Quel quiver ?

Quand on s’intéresse à un mid length, on est soit au début du surf, soit en train d’en avoir fait le tour. Dans tous les cas, c’est le moment idéal pour s’intéresser à d’autres choses afin de passer plus de temps sur l’eau, du moins tout le temps disponible dans de bonnes conditions.

Un quiver de wing pour vous gaver les jours ventés ?

Un SUP pour aller vous balader à la cool ou en famille ?

Le temps que vous passerez sur l’eau sur un support enrichira votre pratique des autres supports. Rien ne remplace l’expérience, le temps en mer, la variété des conditions météo, le partage avec les éléments et les copains.