STORY : L’HISTOIRE DE GONG !!!

Pionnier du SUP en 2006, l’Ours persiste et signe pour devenir le pionnier du shortSUP. Dans sa recherche perpétuelle de nouveaux shapes et de nouvelles performances, il sort en 2011 huit shortSUP de moins de 7 pieds. A cette époque, le marché du SUP est encore jeune et ces shortSUP ultra courts sont de véritables OFNI.
Mais pour l’Ours, les avantages sont clairement identifiés et ont fait leur preuves.

Voici ce qu’expliquait l’Ours en 2011 au sujet des shortSUP :

“Pour moi il y a trois motifs d’achat d’un vrai ShortSUP :

1/ les performances extremes :
Comme tout sport, il y a une tendance vers le toujours plus. Plus haut, plus fort, plus vite etc…
En SUP, les extrêmes performances se trouvent dans les shortSUP, les LongboardSUP et les planches de course. Chacune de ces disciplines est poussée en permanence à son apogée et le matériel y est critique. C’est lui qui permet ou non la performance absolue du moment.
Les planches de course repoussent les limites du franchissement et affolent les chronos.
Les LongboardSUP poussent le style longboard dans des contrées inimaginables. Les noses sont bien plus longs qu’en surf, ça prend du style etc…
Les ShortSUP permettent de densifier le surf. Plus de moves dans moins de longueur de vague. Voilà le secret. Et comme on se sent plus libre et moins en danger, on peut s’envoyer dans des situations plus critiques. Moins de peur, moins de danger = plus d’action.
Le ShortSUP demande des années de pratique, même pour un champion du monde, pour en retirer tout l’intérêt. Mais c’est l’avenir de cette conduite, personne ne peut en douter.
Aujourd’hui en compète tout le monde se cherche. Mais dans les années qui viennent le type de conduite récompensé va s’affirmer. Et à moins que le SUP contredise pour la première fois l’histoire du surf, ce sont les petites planches qui vont gagner.
La raison est simple. Un bon move vaut 3 points. Supposons qu’avec une grande planche de 8’6 vous ayez la place d’en faire 2 sur une vague. Et bien un bon en 6’3 en fera minimum 3 voire 4. Faites le total et vous saurez qui va gagner.
Au-delà de cet aspect comptable regrettable, ceux qui vont se mettre au vrai shortSUP vont booster le sport et pousser les moves plus fort. Aujourd’hui, on fait des compètes sur des grandes planches. Tout le monde drope de très loin, on snape beaucoup, on surfe avec un timing souvent en décalage. Le jour où un gars va se pointer avec un surf dense et puissant en 6’3, il mettra tout le monde d’accord.
Dans des vagues géantes, il faudra toujours un gun en 8′ ou 9′, comme en surf. Mais dans toutes les vagues « normales » à énervées, à forciori les creuses, le shortSUP ne peut que gagner. A moins que la communauté SUP ne décide que ce qui prime c’est de surfer pépère, ce que je trouverai génial aussi (moins de stress).

2/ le feeling unique :
Montez sur une planche de 6′ et vous allez comprendre instantanément ce que je dis. C’est incroyable. Le simple fait d’être debout sur ces petites planches est sublime. Même sur le flat (étape obligatoire).
Alors je pense que beaucoup de gens vont aller vers ce support.
On jette la planche dans la voiture (elle tient entre le dossier des sièges avant et la vitre arrière !!!). On file au spot. On sort la planche et la pagaie en deux deux et zou.
Le shortSUP c’est SIMPLE.
Pas de grand bordel, rien que du compact.
Et pour la facilité d’usage et le zen, bien souvent je ne sors que cette planche quand c’est micro micro l’été, même en balade.
Suis je fou ? je ne crois pas. Je n’ai juste pas envie de me trimbaler un truc énorme, lourd, qui prend au vent etc…
Et quand je suis dessus, et bien je progresse grave : physiquement et techniquement.

3/ les girls et les ados :
Pour les raisons que je viens de citer, le shortSUP est génial pour les filles et les ados. C’est moderne, léger, pas stressant, bref c’est top. On peut même le prendre à vélo !
On n’est plus dans le sport à papa.
Le shortSUP est vivant, plein de conneries, et à la fois très facile pour les lights.

Alors il est certain que ça n’est pas le best-seller de l’année car il y a aussi des tas de contraintes. Mais citez moi celle en shortboard à la main. Ce sont les mêmes, ni plus , ni moins.

C’est la raison pour laquelle dans mes gammes de shortSUP, il y a des planches très affutées et des planche fastoches.”

Depuis ce jour, beaucoup ont passé le cap et ont pu découvrir les réelles avantages de ce type de planches.

Et pour finir, voici une des vidéos emblématiques de l’Ours en shortSUP. Une petite gauche assez longue et molle mais amusante.
Du vent bien side et très fort mais une glisse sympa et quelques moves sur la 6’11 Faking. Enjoy 😉

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